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Correction d'un texte

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Correction d'un texte
Message de datchay91 posté le 21-06-2018 à 06:59:17 (S | E | F)
Bonjour. Je vous prie de m'aider à corriger mon texte suivant.

Nous étions trois amis dans notre tendre enfance. Moi, Salman, j'avais sept ans, mon ami, Djido, avait huit ans et Amine, quant à lui, était âgé de treize ans. Nous, tous les trois, partions souvent à la chasse. En y allant, nous nous interrogions sur des questions qui nous semblaient mysterieuses et auxquelles nous tentions d'avoir des réponses. Nous disions :"nous sommes des amis et vivons dépuis toujours. Chaque jour, au village, nous entendons annoncer la mort d'un proche et voyons des gens aller au cimétière portant sur leurs épaules un mort et en venir avec des mains vides. Le soleil n'a jamais couché sans que l'on ait entendu des pleurs des femmes. Tout le monde disparait un à un du jour au lendemain, les enfants que nous connaissons et avec lesquels nous avons l'habitude de jouer ensemble, les vieux qui nous font rire et peur à la fois grâce à leurs récits prodigieux pendant la nuit, toutes les chères personnes du village en vérité. Cependant, nous, pourquoi nous ne partons pas là où vont nos amis, nos vieux, nos parents, etc, sans jamais révenir ? Et pourquoi ils partent ? Il est fort possible que nous soyons déjà morts et que nous ne mourrions plus jamais." Arrivés au champ, nous nous mettions à capturer des gibiers que nous mangions sur place après les avoir cuits. Quand le soleil couchait, nous révenions à la maison tout joyeux et satisfaits de notre sortie. Merci d'avance !


Réponse : Correction d'un texte de gerold, postée le 21-06-2018 à 07:42:04 (S | E)
Bonjour datchay91

ous étions trois amis dans notre tendre enfance. Moi, Salman, j'avais sept ans, mon ami, Djido, avait huit ans et Amine, quant à lui, était âgé de treize ans. Nous, tous les trois à placer ailleurs, il faut éviter de séparer "nous" du verbe partions le verbe "aller" conviendrait mieux souvent à la chasse. En y allant, nous nous interrogions sur des questions qui nous semblaient mysterieuses et auxquelles nous tentions d'avoir des réponses. Nous disions :"nous sommes des amis et vivons dépuis toujoursque voulez-vous dire ? . Chaque jour, au village, nous entendons annoncer la mort d'un proche et voyons mettez les verbes au même temps que dans les phrases précédentes, de même plus loin dans votre récit des gens aller au cimétière portant sur leurs épaules un mort et en venir ajoutez un préfixe au verbe avec des article défini mains vides. Le soleil n'a jamais couché verbe pronominal sans que l'on ait entendu des pleurs des femmes. Tout le monde disparait un à un du jour au lendemain, les enfants que nous connaissons et avec lesquels nous avons l'habitude de jouer ensemble, les vieux qui nous font harmonisez le temps des verbes avec celui des phrases précédentes rire et peur à la fois grâce à leurs récits prodigieux pendant la nuit, toutes les chères faites une relative avec "qui" et "chères" personnes du village en vérité. Cependant, nous, pourquoi nous ne partons pas là où vont nos amis, nos vieux, nos parents, etc, sans jamais révenir orthographe? Et pourquoi ils partent ? à l'écrit, il est préférable de faire l'inversion du sujet et du verbe Il est fort possible que nous soyons déjà morts et que nous ne mourrions erreur de temps, avec deux "r" c'est un conditionnel plus jamais." Arrivés au champ, nous nous mettions à capturer des gibiers ce mot ne se met pas au pluriel que nous mangions sur place après les avoir cuits faites l'accord en tenant compte de la remarque qui précède. Quand le soleil couchait verbe pronominal, nous révenions orthographe à la maison tout joyeux et satisfaits de notre sortie. Merci d'avance !



Réponse : Correction d'un texte de datchay91, postée le 22-06-2018 à 02:09:52 (S | E)
Bonsoir.

Nous étions trois amis dans notre tendre enfance. Moi, Salman, j'avais sept ans, mon ami, Djido, avait huit ans et Amine, quant à lui, était âgé de treize ans. Nous allions souvent tous les trois à la chasse. En y allant, nous nous interrogions sur des questions qui nous semblaient mysterieuses et auxquelles nous tentions d'avoir des réponses. Nous disions :"nous sommes des amis et en vie dépuis longtemps. Chaque jour, au village, nous entendions annoncer la mort d'un proche et voyions des gens aller au cimétière portant sur leurs épaules un mort et en revenir avec les mains vides. Le soleil ne s'est jamais couché sans que l'on ait entendu des pleurs des femmes. Tout le monde disparaissait un à un du jour au lendemain, les enfants que nous connaissions et avec lesquels nous avions l'habitude de jouer ensemble, les vieux qui nous faisaient rire et peur à la fois grâce à leurs récits prodigieux pendant la nuit, toutes les personnes du village qui étaient chères en vérité. Cependant, nous, pourquoi ne partions-nous pas là où allaient nos amis, nos vieux, nos parents, etc, sans jamais revenir ? Et pourquoi partaient-ils ? Il est fort possible que nous soyons déjà morts et que nous ne mourions plus jamais." Arrivés au champ, nous nous mettions à capturer de gibiers que nous mangions sur place après l'avoir cuit. Quand le soleil se couchait, nous revenions à la maison tout joyeux et satisfaits de notre sortie. Merci d'avance !



Réponse : Correction d'un texte de gerold, postée le 23-06-2018 à 11:53:33 (S | E)
Bonjour datchay91


Nous étions trois amis dans notre tendre enfance. Moi, Salman, j'avais sept ans, mon ami, Djido, avait huit ans et Amine, quant à lui, était âgé de treize ans. Nous allions souvent tous les trois à la chasse. En y allant, nous nous interrogions sur des questions qui nous semblaient mysterieuses il manque un accent et auxquelles nous tentions d'avoir des réponses. Nous disions :"nous sommes des amis et en vie dépuis pas d'accent longtemps le sens n'est toujours pas clair, vous voulez peut-être dire "nous sommes encore en vie". Chaque jour, au village, nous entendions annoncer la mort d'un proche et voyions des gens aller au cimétière mettez un signe de ponctuation portant sur leurs épaules un mort et en revenir avec les mains vides. Le soleil ne s'est jamais couché sans que l'on ait entendu des pleurs des femmes les pleurs des femmes, ou des pleurs de femmes. Tout le monde disparaissait un à un "tout le monde" est incompatible avec "un à un" du jour au lendemain, les enfants que nous connaissions et avec lesquels nous avions l'habitude de jouer ensemble, les vieux qui nous faisaient rire et peur à la fois grâce à leurs récits prodigieux pendant la nuit à placer avant dans la phrase, toutes les personnes du village qui il faudrait ajouter ici un pronom personnel étaient chères en vérité. Cependant, nous, pourquoi ne partions-nous pas nous et ajoutez un adverbe là où allaient nos amis, nos vieux, nos parents, etc, sans jamais revenir ? Et pourquoi partaient-ils ? Il est employez un temps du passé fort possible que nous soyons déjà morts et que nous ne mourions plus jamais." Arrivés au champ, nous nous mettions à capturer de gibiers singulier que nous mangions sur place après l'avoir cuit. Quand le soleil se couchait, nous revenions à la maison tout joyeux et satisfaits de notre sortie. Merci d'avance !



Réponse : Correction d'un texte de datchay91, postée le 24-06-2018 à 01:50:59 (S | E)
Bonsoir.
Nous étions trois amis dans notre tendre enfance. Moi, Salman, j'avais sept ans, mon ami, Djido, avait huit ans et Amine, quant à lui, était âgé de treize ans. Nous allions souvent tous les trois à la chasse. En y allant, nous nous interrogions sur des questions qui nous semblaient mystérieuses et auxquelles nous tentions d'avoir des réponses. Nous disions :"nous sommes des amis et fort âgés. Chaque jour, au village, nous entendions annoncer la mort d'un proche et voyions des gens aller au cimétière, portant sur leurs épaules un mort et en revenir avec les mains vides. Le soleil ne s'est jamais couché sans que l'on ait entendu des pleurs de femmes. Tout le monde disparaissait du jour au lendemain, les enfants que nous connaissions et avec lesquels nous avions l'habitude de jouer ensemble, les vieux qui nous faisaient rire et peur à la fois pendant la nuit grâce à leurs récits prodigieux, toutes les personnes du village qui étaient chères en vérité. Cependant, nous, pourquoi ne partions-nous jamais là où allaient nos amis, nos vieux, nos parents, etc, sans jamais revenir ? Et pourquoi partaient-ils ? Il était fort possible que nous soyons déjà morts et que nous ne mourions plus jamais." Arrivés au champ, nous nous mettions à capturer le gibiers que nous mangions sur place après l'avoir cuit. Quand le soleil se couchait, nous revenions à la maison tout joyeux et satisfaits de notre sortie. Merci d'avance !

Merci encore une fois de m'avoir signalé les erreurs. Je vous en suis vraiment réconnaissant. Merci aussi de me dire pourquoi je devrais mettre tous les verbes du style direct, qui se trouvent dans mon texte à partir de "nous disions :...", au passé. J'aimerais bien en avoir des explications.

Merci d'avance et à bientôt !



Réponse : Correction d'un texte de gerold, postée le 24-06-2018 à 18:33:58 (S | E)
Bonjour datchay91

Nous étions trois amis dans notre tendre enfance. Moi, Salman, j'avais sept ans, mon ami, Djido, avait huit ans et Amine, quant à lui, était âgé de treize ans. Nous allions souvent tous les trois à la chasse. En y allant, cela fait un peu maladroit car il y a déjà "aller" dans la phrase précédente, utilisez l'adverbe "alors", à placer après le verbe nous nous interrogions sur des questions qui nous semblaient mystérieuses et auxquelles nous tentions d'avoir des réponses. Nous disions :"nous sommes des amis et fort âgés bizarre puisque vous êtes des enfants Chaque jour, au village, nous entendions annoncer la mort d'un proche et voyions des gens aller au cimétière orthographe, portant sur leurs épaules un mort et en revenir avec vous pouvez enlever "avec", la phrase en sera allégée les mains vides. Le soleil ne s'est jamais couché sans que l'on ait entendu des pleurs de femmes. Tout le monde disparaissait du jour au lendemain c'est bon, mais si vous voulez garder "un" à un", commencez par "les gens", les enfants que nous connaissions et avec lesquels nous avions l'habitude de jouer ensemble, les vieux qui nous faisaient rire et peur à la fois pendant la nuit grâce à leurs récits prodigieux, toutes les personnes du village qui nous étaient chères en vérité. Cependant, nous, pourquoi ne partions-nous jamais là où allaient nos amis, nos vieux, nos parents, etc, sans jamais revenir ? Et pourquoi partaient-ils ? Il était fort possible que nous soyons déjà morts et que nous ne mourions plus jamais." Arrivés au champ, nous nous mettions à capturer le gibiers du gibier que nous mangions sur place après l'avoir cuit. Quand le soleil se couchait, nous revenions à la maison tout joyeux et satisfaits de notre sortie. Merci d'avance !

Merci encore une fois de m'avoir signalé les erreurs. Je vous en suis vraiment réconnaissant. Merci aussi de me dire pourquoi je devrais mettre tous les verbes du style direct, qui se trouvent dans mon texte à partir de "nous disions :...", au passé. J'aimerais bien en avoir des explications. Vous avez commencé votre récit au passé "Nous étions ... j'avais ...), il est logique de garder le même temps ensuite, c'est une question de cohérence.



Réponse : Correction d'un texte de datchay91, postée le 25-06-2018 à 05:53:53 (S | E)
Nous étions trois amis dans notre tendre enfance. Moi, Salman, j'avais sept ans, mon ami, Djido, avait huit ans et Amine, quant à lui, était âgé de treize ans. Nous allions souvent tous les trois à la chasse. Alors, nous nous interrogions sur des questions qui nous semblaient mystérieuses et auxquelles nous tentions d'avoir des réponses. Nous disions :"nous sommes des amis et vivons au village depuis longtemps. Chaque jour, nous-y entendions annoncer la mort d'un proche et voyions des gens aller au cimetière, portant sur leurs épaules un mort et en revenir les mains vides. Le soleil ne s'est jamais couché sans que l'on ait entendu des pleurs de femmes. Tout le monde disparaissait du jour au lendemain, les enfants que nous connaissions et avec lesquels nous avions l'habitude de jouer ensemble, les vieux qui nous faisaient rire et peur à la fois pendant la nuit grâce à leurs récits prodigieux, toutes les personnes du village qui nous étaient chères en vérité. Cependant, nous, pourquoi ne partions-nous jamais là où allaient nos amis, nos vieux, nos parents, etc, sans jamais revenir ? Et pourquoi partaient-ils ? Il était fort possible que nous soyons déjà morts et que nous ne mourions plus jamais."Arrivés au champ, nous nous mettions à capturer du gibier que nous mangions sur place après l'avoir cuit. Quand le soleil se couchait, nous revenions à la maison tout joyeux et satisfaits de notre sortie. Merci d'avance !



1. Quand Louis était au pouvoir, un jour, il dit, dans un discours, : "l'Etat, c'est moi."

2. Quand Louis était au pouvoir, un jour, il dit, dans un discours, :"l'Etat, c'était moi."

Si je comprends bien votre explication, on peut utiliser ces deux possibilités. N'est-ce pas ? Merci bien.



Réponse : Correction d'un texte de jij33, postée le 25-06-2018 à 11:14:58 (S | E)
Bonjour
Gerold relira sans doute votre texte, mais voici ce qui concerne votre question :
« 1. Quand Louis XIV était au pouvoir, un jour, il dit, dans un discours, : "l'Etat, c'est moi."
2. Quand Louis XIV était au pouvoir, un jour, il dit, dans un discours, :"l'Etat, c'était moi."
Si je comprends bien votre explication, on peut utiliser ces deux possibilités. N'est-ce pas ? »

Non ! La première phrase est correcte, pour une raison fort simple : il s'agit de paroles rapportées au discours (ou style) direct, puisqu'elles sont entre guillemets : elles sont reproduites telles qu'elles ont été énoncées. On ne peut pas, au discours direct, quel que soit le temps du verbe de parole, mettre le verbe de la phrase entre guillemets à l'imparfait à la place du présent, parce qu'il s'agit encore des mots tels qu'ils ont été prononcés par Louis XIV, au discours direct. On dira donc : Quand Louis était au pouvoir, un jour, il dit (même si ce "dit" est un passé simple) dans un discours : "l'État, c'est moi."
En revanche, si les paroles étaient rapportées au discours (ou style) indirect, et annoncées par un verbe introducteur, on dirait : Louis XIV dit un jour dans un discours que l'État, c'était lui, dans une proposition subordonnée interrogative indirecte introduite par "que" et sans guillemets. Sur le discours indirect : Lien internet
Lien internet




Réponse : Correction d'un texte de datchay91, postée le 26-06-2018 à 01:33:20 (S | E)
Bonsoir. Merci beaucoup jij33 de votre explication.



Réponse : Correction d'un texte de jij33, postée le 27-06-2018 à 08:41:07 (S | E)
Bonjour datchay91
Quelques indications supplémentaires pour que vous puissiez finir la correction de ce texte et passer au suivant.

Nous étions trois amis dans notre tendre enfance. Moi, Salman, (on se cite en dernier : commencer par "mon ami", remplacer "et" par une virgule avant "Amine" et ajouter ce qui vous concerne en dernier) j'avais sept ans, mon ami, Djido, avait huit ans et Amine, quant à lui, était âgé de treize ans. Nous allions souvent tous les trois à la chasse. Alors (mieux après "interrogions"), nous nous interrogions sur des questions qui nous semblaient mystérieuses et auxquelles nous tentions d'avoir des réponses. Nous disions :"nous sommes des amis et vivons au village depuis longtemps (fermer les guillemets). Chaque jour, nous-y (sans trait d'union) entendions annoncer la mort d'un proche et voyions des gens aller au cimetière, portant sur leurs épaules un mort (virgule) et en revenir les mains vides. Le soleil ne s'est jamais couché sans que l'on ait entendu des pleurs de femmes. Tout le monde disparaissait du jour au lendemain, les enfants que nous connaissions et avec lesquels nous avions l'habitude de jouer ensemble, les vieux qui nous faisaient rire et peur à la fois pendant la nuit grâce à leurs récits prodigieux, toutes les personnes du village qui nous étaient chères en vérité. Cependant, nous, pourquoi ne partions-nous jamais là où allaient nos amis, nos vieux, nos parents, etc (toujours un point après le c de etc.) sans jamais revenir ? Et pourquoi partaient-ils ? Il était fort possible que nous soyons déjà morts et que nous ne mourions plus jamais. (Pourqoi ces guillemets ? Les enlever) "Arrivés au champ, nous nous mettions à capturer du gibier que nous mangions sur place après l'avoir cuit. Quand le soleil se couchait, nous revenions à la maison tout joyeux et satisfaits de notre sortie.
Bonne fin correction.



Réponse : Correction d'un texte de datchay91, postée le 28-06-2018 à 01:26:06 (S | E)
Bonsoir jij33.

Nous étions trois amis dans notre tendre enfance. Mon ami, Djido, avait huit ans, Amine, quant à lui, était âgé de treize ans et, moi, j'avais sept ans . Nous allions souvent tous les trois à la chasse. Nous nous interrogions alors sur des questions qui nous semblaient mystérieuses et auxquelles nous tentions d'avoir des réponses. Nous disions :"nous sommes des amis et vivons au village depuis longtemps(les fermer alors que le discours continu ? ). Chaque jour,nous y entendons annoncer la mort d'un proche et voyons des gens aller au cimetière, portant sur leurs épaules un mort, et en revenir les mains vides. Le soleil ne s'est jamais couché sans que l'on ait entendu des pleurs de femmes. Tout le monde disparait du jour au lendemain, les enfants que nous connaissons et avec lesquels nous avions l'habitude de jouer ensemble, les vieux qui nous font rire et peur à la fois pendant la nuit grâce à leurs récits prodigieux, toutes les personnes du village qui nous sommes chères en vérité. Cependant, nous, pourquoi ne partons-nous jamais là où vons nos amis, nos vieux, nos parents, etc. sans jamais revenir ? Et pourquoi partent-ils ? Il est fort possible que nous soyons déjà morts et que nous ne mourions plus jamais"(parce que c'est la fin du discours direct rapporté). Arrivés au champ, nous nous mettions à capturer du gibier que nous mangions sur place après l'avoir cuit. Quand le soleil se couchait, nous revenions à la maison tout joyeux et satisfaits de notre sortie.

Je vous souhaite une excellente soirée !



Réponse : Correction d'un texte de gerold, postée le 28-06-2018 à 15:33:17 (S | E)
Bonjour datchay91

Nous étions trois amis dans notre tendre enfance. Mon ami, Djido, avait huit ans, Amine, quant à lui, était âgé de treize ans et, déplacez la virgule moi, j'avais sept ans . Nous allions souvent tous les trois à la chasse. Nous nous interrogions alors sur des questions qui nous semblaient mystérieuses et auxquelles nous tentions d'avoir des réponses. Nous disions :"nous sommes des amis et vivons au village depuis longtemps(les fermer alors que le discours continue ? ). Chaque jour,nous y entendons annoncer la mort d'un proche et voyons des gens aller au cimetière, portant sur leurs épaules un mort, et en revenir les mains vides. Le soleil ne s'est jamais couché sans que l'on ait entendu des pleurs de femmes puisque cette phrase est au discours direct, il serait logique de changer les temps . Tout le monde disparait * du jour au lendemain, les enfants que nous connaissons et avec lesquels nous avions l'habitude de jouer ensemble, les vieux qui nous font rire et peur à la fois pendant la nuit grâce à leurs récits prodigieux, toutes les personnes du village qui nous sommes erreur de conjugaison, nous n'est pas le sujet chères en vérité. Cependant, nous, pourquoi ne partons-nous jamais là où vons nos amis, nos vieux, nos parents, etc. sans jamais revenir ? Et pourquoi partent-ils ? Il est fort possible que nous soyons déjà morts et que nous ne mourions plus jamais"(parce que c'est la fin du discours direct rapporté)d'accord, je n'avais pas compris où le discours direct s'arrêtait. Arrivés au champ, nous nous mettions à capturer du gibier que nous mangions sur place après l'avoir cuit. Quand le soleil se couchait, nous revenions à la maison tout joyeux et satisfaits de notre sortie.

* Remarque : il est admis maintenant d'écrire "disparait" sans accent circonflexe (au lieu de "disparaît").

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Modifié par gerold le 28-06-2018 15:38





Réponse : Correction d'un texte de datchay91, postée le 29-06-2018 à 01:45:15 (S | E)
Bonsoir.

Nous étions trois amis dans notre tendre enfance. Mon ami, Djido, avait huit ans, Amine, quant à lui, était âgé de treize ans et moi, j'avais sept ans . Nous allions souvent tous les trois à la chasse. Nous nous interrogions alors sur des questions qui nous semblaient mystérieuses et auxquelles nous tentions d'avoir des réponses. Nous disions :"nous sommes des amis et vivons au village depuis longtemps. Chaque jour,nous y entendons annoncer la mort d'un proche et voyons des gens aller au cimetière, portant sur leurs épaules un mort, et en revenir les mains vides. Le soleil ne se couche jamais sans que l'on entende des pleurs de femmes. Tout le monde disparait du jour au lendemain, les enfants que nous connaissons et avec lesquels nous avons l'habitude de jouer ensemble, les vieux qui nous font rire et peur à la fois pendant la nuit grâce à leurs récits prodigieux, toutes les personnes du village qui nous sont chères en vérité. Cependant, nous, pourquoi ne partons-nous jamais là où vons nos amis, nos vieux, nos parents, etc. sans jamais revenir ? Et pourquoi partent-ils ? Il est fort possible que nous soyons déjà morts et que nous ne mourions plus jamais." Arrivés au champ, nous nous mettions à capturer du gibier que nous mangions sur place après l'avoir cuit. Quand le soleil se couchait, nous revenions à la maison tout joyeux et satisfaits de notre sortie.

Merci bien !



Réponse : Correction d'un texte de gerold, postée le 29-06-2018 à 22:53:37 (S | E)
Bonsoir datchay91

Nous étions trois amis dans notre tendre enfance. Mon ami, Djido, avait huit ans, Amine, quant à lui, était âgé de treize ans et moi, j'avais sept ans enlevez l'espace. Nous allions souvent tous les trois à la chasse. Nous nous interrogions alors sur des questions qui nous semblaient mystérieuses et auxquelles nous tentions d'avoir des réponses. Nous disions :espace"nous sommes des amis et vivons au village depuis longtemps. Chaque jour,espacenous y entendons annoncer la mort d'un proche et voyons des gens aller au cimetière, portant sur leurs épaules un mort, et en revenir les mains vides. Le soleil ne se couche jamais sans que l'on entende des pleurs de femmes. Tout le monde disparait du jour au lendemain, les enfants que nous connaissons et avec lesquels nous avons l'habitude de jouer ensemble, les vieux qui nous font rire et peur à la fois pendant la nuit grâce à leurs récits prodigieux, toutes les personnes du village qui nous sont chères en vérité. Cependant, nous, pourquoi ne partons-nous jamais là où vons orthographe nos amis, nos vieux, nos parents, etc. sans jamais revenir ? Et pourquoi partent-ils ? Il est fort possible que nous soyons déjà morts et que nous ne mourions plus jamais." Arrivés au champ, nous nous mettions à capturer du gibier que nous mangions sur place après l'avoir cuit. Quand le soleil se couchait, nous revenions à la maison tout joyeux et satisfaits de notre sortie.




Réponse : Correction d'un texte de datchay91, postée le 30-06-2018 à 01:19:59 (S | E)
Bonsoir !

Nous étions trois amis dans notre tendre enfance. Mon ami, Djido, avait huit ans, Amine, quant à lui, était âgé de treize ans et moi, j'avais sept ans. Nous allions souvent tous les trois à la chasse. Nous nous interrogions alors sur des questions qui nous semblaient mystérieuses et auxquelles nous tentions d'avoir des réponses. Nous disions : "nous sommes des amis et vivons au village depuis longtemps. Chaque jour, nous y entendons annoncer la mort d'un proche et voyons des gens aller au cimetière, portant sur leurs épaules un mort, et en revenir les mains vides. Le soleil ne se couche jamais sans que l'on entende des pleurs de femmes. Tout le monde disparait du jour au lendemain, les enfants que nous connaissons et avec lesquels nous avons l'habitude de jouer ensemble, les vieux qui nous font rire et peur à la fois pendant la nuit grâce à leurs récits prodigieux, toutes les personnes du village qui nous sont chères en vérité. Cependant, nous, pourquoi ne partons-nous jamais là où vont nos amis, nos vieux, nos parents, etc. sans jamais revenir ? Et pourquoi partent-ils ? Il est fort possible que nous soyons déjà morts et que nous ne mourions plus jamais." Arrivés au champ, nous nous mettions à capturer du gibier que nous mangions sur place après l'avoir cuit. Quand le soleil se couchait, nous revenions à la maison tout joyeux et satisfaits de notre sortie.

Merci bien !



Réponse : Correction d'un texte de gerold, postée le 30-06-2018 à 16:12:41 (S | E)
Bonjour datchay91

N'oubliez pas d'enlever l'indication: ... Chaque jour,espacenous ...

Sinon, votre texte me semble maintenant parfait. C'est du bon travail.



Réponse : Correction d'un texte de datchay91, postée le 01-07-2018 à 01:30:41 (S | E)
Merci infiniment gerold et jij33. Sans vous, je n'aurais pas pu corriger les erreurs de mon texte. Vous êtes vraiment aimables. Je vous souhaite une excellente soirée pleine de beaux rêves !



Réponse : Correction d'un texte de pali, postée le 01-07-2018 à 18:09:59 (S | E)
Bonsoir,
Le français, à l'inverse de l'anglais, n'aime pas trop les répétitions. Pour la seconde phrase un seul verbe suffit : Moi, Salman, j'avais sept ans, Djido huit (on sait que c'est son ami avec la première phrase)et Amine treize. Simple et efficace, non ?
Arrivés au champ ?? si vous chassez ce serait plutôt "dans la brousse". Le champ évoque plutôt la culture que le gibier (au singulier).

de la part de Pali




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