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Ex 233/ I'll go home...

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Ex 233/ I'll go home...
Message de here4u posté le 11-08-2022 à 22:16:04 (S | E | F)
Hello, dear workers!

Voici la suite de notre rencontre avec Elizabeth, en Australie. Le convoi insolite qui ramène son défunt mari vient de la surprendre ...

Translate into French:

She steadied herself against the daub-dusty wall, her mouth wide open, her hand patting her neat, braided hair. A great gust of grief blew down her open mouth, so much air she could barely stand. She was a sail. A great hard curve pushed inside her guts.
The wagon had Mr Savage’s name in gold letters on its back slabsides. Someone had misspelled ‘vicuals’*. The killer horse bent its head to eat, but there was no grass here, you stupid beast.
Chas Ahearn imagined the woman had not understood her plight. She held out her hand and shook his. She smiled, a little vaguely, but she was known to be aloof and also quite eccentric. Only the furrows on her high forehead suggested any understanding at all. As the men brought the body from the cart and laid it on the kitchen table, she made a fuss about his boot being lost.
Elizabeth was thinking about London. She thought: there is nothing to keep me. I’m quite free. The reason I must stay exists no more. And then she bit the inside of her cheek so hard that the morrow would find it infected and she had to gargle salt water for a month before it passed.
But it was true, she had no reason to be in New South Wales. She did not care for farming. Farming was her husband’s concern. He was a soil scientist but secretely romantic. It was he who had such dreams of country life and she who was careful not to pry into the wells from which these desires sprang lest she find something so foolish she would cease to love him altogether.

Peter CAREY, Oscar and Lucinda, 1996.
* vicuals: victuals : alimentation.

Bon! Peut-être un peu plus facile, maintenant que le contact a été pris ! mais toujours le même style difficile à traduire ... Allez courage !

Cet exercice est un et la correction sera en ligne le samedi 27 août 2022. Go for this challenge!




Réponse : Ex 233/ I'll go home... de mad14, postée le 17-08-2022 à 13:03:11 (S | E)
Thank you Here4U for your exercises - this one is ready to be corrected.

Elle se tenait contre le mur recouvert de poussière, la bouche grande ouverte, la main caressant ses cheveux nattés.
Un grand soupir de désolation sortit de sa bouche, tellement d'air qu'elle pouvait à peine tenir debout. Elle vacillait.
Une grande douleur lui tordait les boyaux.
Le chariot portait le nom de Mr Savage en lettres d'or sur une large plaque rectangulaire à l'arrière.
Quelqu'un avait mal orthographié "Alimentation".
Le cheval meurtrier baissait la tête pour manger, mais il n'y avait pas d'herbe ici, stupide bête.
Chas Ahearn imaginait que la femme n'avait pas compris la situation.
Elle lui tendit la main et la lui serra.
Elle souriait, légèrement dans le vague, mais elle était connue pour être distante et aussi complètement excentrique.
Seules les rides de son front haut présentaient quelques signes de compréhension.
Comme les hommes sortaient le corps du chariot et le déposaient sur la table de la cuisine, elle fit toute une histoire au sujet de son pied manquant.
Elisabeth pensait à Londres.
Elle pensa: il n'y a rien qui me retient ici.
Je suis totalement libre.
Il n'y a plus de raison pour que je reste.
Et elle se mordit l'intérieur de la joue si fort que le lendemain elle la trouverait infectée et elle devrait se gargariser avec de l'eau salée pour que ça passe.
Mais c'était vrai, elle n'avait aucune raison de rester en Nouvelle Galle du Sud.
Elle s'en fichait de l'agriculture.
L'agriculture c'était l'affaire de son mari.
C'était un scientifique des sols mais secrètement romantique.
C'était lui qui rêvait de la vie à la campagne et elle qui était prudente de ne pas fouiller dans les "puits" de crainte qu'en surgissent ces désirs qu'elle trouve quelque chose si stupide qu'elle cesserait de l'aimer complètement.



Réponse : Ex 233/ I'll go home... de magie8, postée le 20-08-2022 à 09:26:06 (S | E)
hello bon à corriger

Translate into French:

She steadied herself against the daub-dusty wall, her mouth wide open, her hand patting her neat, braided hair. A great gust of grief blew down her open mouth, so much air she could barely stand. She was a sail. A great hard curve pushed inside her guts.
The wagon had Mr Savage's name in gold letters on its back slabsides. Someone had misspelled ?vicuals'*. The killer horse bent its head to eat, but there was no grass here, you stupid beast.
Chas Ahearn imagined the woman had not understood her plight. She held out her hand and shook his. She smiled, a little vaguely, but she was known to be aloof and also quite eccentric. Only the furrows on her high forehead suggested any understanding at all. As the men brought the body from the cart and laid it on the kitchen table, she made a fuss about his boot being lost.
Elizabeth was thinking about London. She thought: there is nothing to keep me. I'm quite free. The reason I must stay exists no more. And then she bit the inside of her cheek so hard that the morrow would find it infected and she had to gargle salt water for a month before it passed.
But it was true, she had no reason to be in New South Wales. She did not care for farming. Farming was her husband's concern. He was a soil scientist but secretely romantic. It was he who had such dreams of country life and she who was careful not to pry into the wells from which these desires sprang lest she find something so foolish she would cease to love him altogether.

Peter CAREY, Oscar and Lucinda, 1996.
* vicuals: victuals : alimentation.

Elle s'appuya contre le mur poussiéreux, la bouche grande ouverte, la main tapotant ses cheveux tressés et soignés. Une rafale de chagrin souffla dans sa bouche ouverte, tellement d air qu elle en vacilla. Elle était comme une voile. Une crampe lui tordit les boyaux ..
La charrette avait le nom de Mr Savage écrit en lettres d'or sur une plaque à l'arrière. Quelqu'un avait mal orthographié le mot " alimentation." Le cheval meurtrier pencha la tête pour manger, mais il n'y avait pas d'herbe ici. Stupide bête.
Elisabeth pensait à Londres. Elle se disait: rien ne me retient. Je suis tout à fait libre. La raison pour laquelle je devais rester n' existe plus. Et puis elle se mordit l'interieur de la joue tellement fort que le lendemain elle la trouva infectée et dut se gargariser avec de l' eau salée pendant un mois avant que ce ne soit cicatricé.
Mais c'était vrai, elle n'avait aucune raison de rester en Nouvelle Galles du Sud. L'agriculture ne l' interessait pas. L' agriculture c'était l' affaire de son mari. Il était spécialiste des sols mais secrètement romantique. C'était lui qui avait tant de rêves de vie à la campagne, et elle se gardait bien de mettre son nez dans les profondeurs d'ou jaillissaient ces désirs de peur d'y trouver quelque chose de si stupide, qu' elle cesserait complètement de l'aimer.



Réponse : Ex 233/ I'll go home... de melena53, postée le 21-08-2022 à 16:15:05 (S | E)
Hello here4u
Thank you for this new excercise

Elle s'appuya contre le mur poussiéreux, la bouche grande ouverte, sa main caressant ses cheveux tressés. Une grande bouffée de chagrin souffla sur sa bouche ouverte, tellement d'air qu'elle pouvait à peine se tenir debout. Elle était une voile. Une grande courbe dure poussée à l'intérieur de ses entrailles. Le wagon portait le nom de M. Savage en lettres dorées sur ses flancs arrière. Quelqu'un avait mal orthographié alimentation. Le cheval tueur a baissé la tête pour manger, mais il n'y avait pas d'herbe ici, espèce de bête stupide.
Chas Ahearn imagina que la femme n'avait pas compris son sort. Elle lui tendit la main et lui serra la sienne. Elle sourit, un peu vaguement, mais elle était connue pour être distante et aussi assez excentrique. Seuls les sillons sur son front haut suggéraient une quelconque compréhension. Alors que les hommes sortaient le corps de la charrette et le posaient sur la table de la cuisine, elle fit tout un plat de la perte d'une botte.

Elizabeth pensait à Londres. Elle pensa : plus rien ne me retient. Je suis tout à fait libre. La raison pour laquelle je dois rester n'existe plus. Et puis elle a mordu l'intérieur de la joue si fort que le lendemain elle la trouverait infectée et elle devrait se gargariser d'eau salée pendant un mois avant que ça passe.

Mais c'était vrai, elle n'avait aucune raison d'être en Nouvelle-Galles du Sud. Elle ne se souciait pas de l'agriculture. L'agriculture c'était l'affaire de son mari. C'était un agronome-pédologue mais secrètement romantique. C'était lui qui avait de tels rêves de vie à la campagne et elle qui se gardait bien de fouiller dans les puits d'où jaillissaient ces désirs, de peur qu'elle ne trouve quelque chose de si insensé qu'elle cesserait tout à fait de l'aimer.



Réponse : Ex 233/ I'll go home... de icare29, postée le 23-08-2022 à 10:46:21 (S | E)
Hello Here4u..and all hardworkers ..here is my work READY .


Elle se maintint contre le poussiéreux mur enduit de torchis , la bouche grande ouverte, la main caressant ses cheveux soigneusement tressés. Un puissant souffle empreint de chagrin s'échappa de sa bouche ouverte, souffle si puissant qu'elle put à peine se tenir debout.
Elle était une voile. Une stupéfiante grosseur dure se développait au milieu de ses boyaux .
La charrette portait le nom de M. Savage en lettres dorées sur ses flancs arrières. Quelqu'un avait mal orthographié "Alimentation"*. Le cheval meurtrier abaissa la tête pour brouter, mais l'herbe ne poussait pas par ici, espèce de bête stupide.
Chas Ahearn pensa que sa femme n'avait pas bien compris sa situation particulière. Elle lui tendit la main et secoua la sienne. Elle sourit, un peu vaguement ; elle était connue pour être distante et aussi assez excentrique.
Seulement, les rides sur le haut du front ne suggéraient aucune quelconque compréhension. Alors que les hommes sortaient le corps de la charrette et le posaient sur la table de la cuisine, elle fit toute une histoire à propos d'une botte perdue.
Elizabeth pensait à Londres. Elle réfléchissait : rien ne me retient. Je suis tout à fait libre. La raison pour laquelle je dois rester n'existe plus. Et puis elle se mordit l'intérieur de la joue si fortement que le lendemain sa joue était infectée et elle avait dû se gargariser d'eau salée pendant un mois avant que la plaie ne guérisse.
Mais c'était vrai, elle n'avait aucune raison d'être en Nouvelle-Galles du Sud. L'agriculture n'était pas son affaire mais plutôt celle de son mari . Il était un pédologue mais, secrètement, aussi un idéaliste.
C'était lui qui avait de tels rêves de vie à la campagne et elle qui se gardait bien de fouiller dans les tréfonds de son être d'où jailliraient ses désirs, de peur qu'elle ne trouvât quelque chose de si insensée qu'elle aurait cessé tout bonnement de l'aimer.

Peter CAREY, Oscar and Lucinda, 1996.

Thanks a lot for your correction



She steadied herself against the daub-dusty wall, her mouth wide open, her hand patting her neat, braided hair. A great gust of grief blew down her open mouth, so much air she could barely stand. She was a sail. A great hard curve pushed inside her guts.
The wagon had Mr Savage's name in gold letters on its back slabsides. Someone had misspelled ?vicuals'*. The killer horse bent its head to eat, but there was no grass here, you stupid beast.
Chas Ahearn imagined the woman had not understood her plight. She held out her hand and shook his. She smiled, a little vaguely, but she was known to be aloof and also quite eccentric. Only the furrows on her high forehead suggested any understanding at all. As the men brought the body from the cart and laid it on the kitchen table, she made a fuss about his boot being lost.
Elizabeth was thinking about London. She thought: there is nothing to keep me. I'm quite free. The reason I must stay exists no more. And then she bit the inside of her cheek so hard that the morrow would find it infected and she had to gargle salt water for a month before it passed.
But it was true, she had no reason to be in New South Wales. She did not care for farming. Farming was her husband's concern. He was a soil scientist but secretely romantic. It was he who had such dreams of country life and she who was careful not to pry into the wells from which these desires sprang lest she find something so foolish she would cease to love him altogether.



Réponse : Ex 233/ I'll go home... de maxwell, postée le 24-08-2022 à 08:00:42 (S | E)
READY TO BE CORRECTED
Hello Here4U

I'm not sure I've understood some parts of this text. This is a not an easy author to read... BTW, I have a question for you at the end...

Translate into French:

She steadied herself against the daub-dusty wall, her mouth wide open, her hand patting her neat, braided hair. A great gust of grief blew down her open mouth, so much air she could barely stand. She was a sail. A great hard curve pushed inside her guts.
The wagon had Mr Savage’s name in gold letters on its back slabsides. Someone had misspelled ‘vicuals’. The killer horse bent its head to eat, but there was no grass here, you stupid beast.
Chas Ahearn imagined the woman had not understood her plight. She held out her hand and shook his. She smiled, a little vaguely, but she was known to be aloof and also quite eccentric. Only the furrows on her high forehead suggested any understanding at all. As the men brought the body from the cart and laid it on the kitchen table, she made a fuss about his boot being lost.
Elizabeth was thinking about London. She thought: there is nothing to keep me. I’m quite free. The reason I must stay exists no more. And then she bit the inside of her cheek so hard that the morrow would find it infected and she had to gargle salt water for a month before it passed.
But it was true, she had no reason to be in New South Wales. She did not care for farming. Farming was her husband’s concern. He was a soil scientist but secretely(*) romantic. It was he who had such dreams of country life and she who was careful not to pry into the wells from which these desires sprang lest she find something so foolish she would cease to love him altogether.

Peter CAREY, Oscar and Lucinda, 1996.


Elle se maintenait contre le mur poussiéreux, bouche grande ouverte, la main caressant ses cheveux tressés avec soin. Une grande bouffée de chagrin souffla dans sa bouche ouverte, tant d'air qu'elle put à peine se tenir debout. Elle était une voile. Une grande courbe dure poussait dans ses entrailles.
Le nom de Mr Savage était inscrit en lettres d'or sur les parois arrière du fourgon. Quelqu'un avait mal orthographié le mot "victuailles". Le cheval tueur courba la tête pour manger mais il n'y avait pas d'herbe ici, stupide bête !
Chas Ahaearn imagina que la femme n'avait pas compris sa détresse. Elle tendit la main et serra la sienne. Elle eut un sourire un peu vague, mais on la connaissait un peu distante et également très excentrique. Seuls les rides sur son grand front suggéraient une quelconque compréhension. Alors que les hommes portaient le corps de la carriole et le posaient sur la table de la cuisine, elle fit des histoires à propos de la perte de sa botte.
Elizabeth pensait à Londres. Elle se disait : "Il n'y a rien qui me retienne ici. Je suis parfaitement libre. La raison qui m'oblige à rester n'existe plus. Et puis elle se mordit l'intérieur de la joue si fort qu'elle se retrouverait infectée le lendemain, et qu'elle devrait se gargariser avec de l'eau salée pendant un mois avant que cela passe.
Mais c'était vrai, elle n'avait aucune raison d'être en Nouvelles-Galles du Sud. Elle n'en avait rien à faire de cultiver la terre. C'était les affaires de son mari. C'était un scientifique du sol mais, en secret, il était romantique. C'était lui qui avait de tels rêves de vie à la campagne et elle qui prenait soin de ne pas fourrer son nez dans les puits d'où ses désirs jaillissaient, de peur qu'elle trouve quelque chose de si ridicule qu'elle cesserait de l'aimer purement et simplement.

(*) ne faut-il pas écrire secretly?



Réponse : Ex 233/ I'll go home... de here4u, postée le 27-08-2022 à 11:01:42 (S | E)
Hello!

ATTENTION!
Indispo ce jour! N’attendez ni les envois de vos corrections, ni le corrigé ce soir ( ) Deadline reportée à demain soir !
Merci de votre patience !



Réponse : Ex 233/ I'll go home... de here4u, postée le 28-08-2022 à 22:46:17 (S | E)
Hello, dear workers!

I hope those of You who had to go back home to resume work are back safe...

Here is your translation: From English into French:

She steadied herself against the daub-dusty wall, her mouth wide open, her hand patting her neat, braided hair. A great gust of grief blew down her open mouth, so much air she could barely stand. She was a sail. A great hard curve pushed inside her guts.
The wagon had Mr Savage’s name in gold letters on its back slabsides. Someone had misspelled ‘vicuals’. The killer horse bent its head to eat, but there was no grass here, you stupid beast.
Chas Ahearn imagined the woman had not understood her plight. She held out her hand and shook his. She smiled, a little vaguely, but she was known to be aloof and also quite eccentric. Only the furrows on her high forehead suggested any understanding at all. As the men brought the body from the cart and laid it on the kitchen table, she made a fuss about his boot being lost.
Elizabeth was thinking about London. She thought : there is nothing to keep me. I’m quite free. The reason I must stay exists no more. And then she bit the inside of her cheek so hard that the morrow would find it infected and she had to gargle salt water for a month before it passed.
But it was true, she had no reason to be in New South Wales. She did not care for farming. Farming was her husband’s concern. He was a soil scientist but secretely romantic. It was he who had such dreams of country life and she who was careful not to pry into the wells from which these desires sprang lest she find something so foolish she would cease to love him altogether.

Peter CAREY, Oscar and Lucinda, 1996.


Elle se stabilisa (1) contre le mur de torchis poussiéreux, retrouva son équilibre, la bouche grande ouverte, la main se caressant les cheveux soigneusement nattés(2). Une rafale de chagrin s’engouffra par sa bouche ouverte, tellement d’air qu’elle pouvait à peine tenir debout. Elle ressemblait à une voile. Une courbure grande et dure s’enfonça dans ses entrailles.(3)
Le fourgon portait le nom de Monsieur Savage écrit sur les plaques arrière en lettre d’or. « Alimentaton » avait été mal orthographié. Le cheval assassin penchait la tête pour manger, mais il n’y avait pas d’herbe ici, espèce d’animal stupide !
Chas Ahearn s’imagina que la femme n’avait pas compris son sort(4). Elle tendit la main, et serra celle de l’homme(5). Elle sourit, un peu vaguement, mais on la savait réservée et aussi un peu excentrique. Seuls les sillons sur le haut de son front suggéraient qu’elle avait compris un peu. Alors que les hommes retiraient le corps du chariot et le posaient sur la table de la cuisine, elle fit tout une histoire parce qu’une de ses chaussures avait été perdue.
Elizabeth pensait à Londres. Elle pensa : rien ne me retient ici. Je suis tout à fait libre. La raison pour laquelle elle devait rester n’existe plus. Alors, elle se mordit l’intérieur de la joue si fort qu'elle la trouverait infectée le lendemain, et dut se gargariser à l’eau salée pendant un mois avant guérison.
Mais c’était vrai : elle n’avait aucune raison de rester en Nouvelle-Galles du Sud. L’exploitation agricole ne l’intéressait pas ! Elle intéressait son mari. Il était pédologue mais secrètement idéaliste. C’était lui qui rêvait de vie à la campagne alors qu'elle prenait garde de ne pas pénétrer de force dans les profondeurs d’où ces désirs surgissaient, de peur de trouver quelque chose de tellement stupide qu’elle cesserait totalement de l’aimer.


(1) to steady: to (cause to) become firm, straight, or steady, as in position, movement, or character: stabiliser/ maintenir. Elle s’appuya/ se stabilisa/. Etourdie par le choc de l'arrivée du convoi, elle a besoin de se stabiliser contre le mur afin de retrouver son équilibre.
(2) Chaque fois que c'est possible, omettre l'adjectif possessif devant les parties du corps en français. Ne pas l'oublier en anglais ! (her hand/ her mouth/ her hair/ his hand...)
(3) Je n'ai pas aimé les "boyaux", mais ai apprécié "les entrailles"
(4) Plight: une situation désespérée/ triste sort/
(5) To shake somebody's hand: serrer la main de qqn.

- daub: Lien internet

wattle and daub: (ancient technique for building walls) clayonnage enduit de torchis
- to be aloof (adjectif): (uninterested) à l'écart
- aloof adj. (snobbish, cold)/ distant adj./réservé, froid adj.
- to pry into [sth] vi + prep (ask personal questions): se mêler de v pron + prép./ s'immiscer dans v pron + prép
(familier): fourrer son nez dans loc v + prép

Vous m'avez dit avoir peiné sur le premier paragraphe ... et j'ai bien vu que la dernière phrase vous avait fait souffrir ... Elle a, d'ailleurs, parfois été mal comprise ...
Vraiment, il n'était pas facile, ce texte. Vous avez affronté les difficultés et les avez dominées !

Merci de votre fidélité, de vos efforts et de ce très bon travail !




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